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12>Faux-fuyant ou simple oubli ?
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Faux-fuyant ou simple oubli ?
Prix du meilleur environnement
Faux-fuyant ou simple oubli ?
La remise des prix du meilleur environnement pour l’année 2007, dans le cadre d’un concours organisé il y a presque deux ans par le ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, semble mis aux oubliettes, privant ainsi les lauréats des distinctions tant espérées.
L’attente dure depuis juillet 2007, date à laquelle ils devaient être primés par le ministre Chérif Rahmani à l’occasion de la fête de l’Indépendance, d’autant plus que les attestations ont été déjà signées par ce dernier. Pour rappel, lancé au mois d’octobre 2006, le concours du meilleur environnement est une compétition à laquelle ont participé six communes : Didouche Mourad, El Khroub, Aïn S’mara, Messaoud Boudjeriou et Ibn Ziad, avec Constantine comme wilaya pilote. L’évaluation a été faite sur le terrain par plusieurs commissions qui comptaient, entre autres, des représentants des directions de l’environnement et de la jeunesse et des sports, les associations écologiques et la Conservation des forêts. Neuf prix, d’une valeur totale de 12 MDA (millions), devaient être attribués aux trois meilleurs prestataires répartis en trois catégories : les communes, les quartiers et les propriétaires de balcons.
Aujourd’hui, « la lenteur » affichée dans la remise des prix décourage les lauréats, parmi les citoyens et les associations, qui non seulement renoncent à s’enquérir de ce retard auprès des autorités de wilaya, lequel s’apparente à un « faux-fuyant », mais encore à espérer recevoir leurs distinctions pour lesquelles ils ont investi, disent-ils, beaucoup de leur argent. Selon des indiscrétions, c’est le ministre qui doit récompenser, en personne, les lauréats lors d’une cérémonie. Mais, il faut croire que l’agenda de ce dernier est trop chargé pour lui permettre de consacrer un peu de son temps à ces « citoyens algériens gagnants », sachant qu’il s’est rendu à la ville des Ponts lors de la campagne électorale, où il a improvisé des points à visiter. Contacté au téléphone par nos soins, afin de connaître les raisons du retard mis dans la remise des prix, le chargé de communication auprès du ministère de l’Environnement a déclaré, à notre grande surprise, tout ignorer de ce concours. Les lauréats peuvent donc encore attendre !
Faux-fuyant ou simple oubli ?
La remise des prix du meilleur environnement pour l’année 2007, dans le cadre d’un concours organisé il y a presque deux ans par le ministère de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, semble mis aux oubliettes, privant ainsi les lauréats des distinctions tant espérées.
L’attente dure depuis juillet 2007, date à laquelle ils devaient être primés par le ministre Chérif Rahmani à l’occasion de la fête de l’Indépendance, d’autant plus que les attestations ont été déjà signées par ce dernier. Pour rappel, lancé au mois d’octobre 2006, le concours du meilleur environnement est une compétition à laquelle ont participé six communes : Didouche Mourad, El Khroub, Aïn S’mara, Messaoud Boudjeriou et Ibn Ziad, avec Constantine comme wilaya pilote. L’évaluation a été faite sur le terrain par plusieurs commissions qui comptaient, entre autres, des représentants des directions de l’environnement et de la jeunesse et des sports, les associations écologiques et la Conservation des forêts. Neuf prix, d’une valeur totale de 12 MDA (millions), devaient être attribués aux trois meilleurs prestataires répartis en trois catégories : les communes, les quartiers et les propriétaires de balcons.
Aujourd’hui, « la lenteur » affichée dans la remise des prix décourage les lauréats, parmi les citoyens et les associations, qui non seulement renoncent à s’enquérir de ce retard auprès des autorités de wilaya, lequel s’apparente à un « faux-fuyant », mais encore à espérer recevoir leurs distinctions pour lesquelles ils ont investi, disent-ils, beaucoup de leur argent. Selon des indiscrétions, c’est le ministre qui doit récompenser, en personne, les lauréats lors d’une cérémonie. Mais, il faut croire que l’agenda de ce dernier est trop chargé pour lui permettre de consacrer un peu de son temps à ces « citoyens algériens gagnants », sachant qu’il s’est rendu à la ville des Ponts lors de la campagne électorale, où il a improvisé des points à visiter. Contacté au téléphone par nos soins, afin de connaître les raisons du retard mis dans la remise des prix, le chargé de communication auprès du ministère de l’Environnement a déclaré, à notre grande surprise, tout ignorer de ce concours. Les lauréats peuvent donc encore attendre !
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